Le snowborder tout simplement. Et quand il pratique son activité : il va rider !
Une discipline qui consiste à aller dans la poudreuse, souvent en hors piste.
La pratique du snowboard tournée vers les tricks. (la préférée d’Aymeric!)
Une figure quelle qu’elle soit. Elles ont des noms spécifiques. (On y reviendra!)
C’est le fait de rider avec le pied droit à l’avant de la board.
#teamgoofy
C’est l’inverse: le pied gauche devant. Une communauté à l’intérieur d’une autre !
Synonyme de rider, il a pris un nouveau sens et désigne une pratique portée vers le bord de piste avec utilisation des modules.
C’est lorsqu’on fait un virage en se penchant et que la planche n’est plus que sur une carre, on appelle ça « carver ». Ça peut aller jusqu’à poser la main ou le coude sur la piste à pleine vitesse !
C’est un tremplin en neige, « une grosse table » qui permet au rider de faire des tricks. C’est aussi une épreuve en compétition.
La pratique du snowboard dans la rue, pour jibber (on vous explique ça un peu plus bas) des objets pas prévus à cet effet. Le street : une discipline ou un abonnement à l’hôpital est vivement recommandé.
Un parcours complet dans un snowpark qui offre des modules variés. Ce terme désigne aussi l’épreuve en compétition
Le backcountry c’est la combinaison du meilleur des deux mondes. C’est emmener la discipline freestyle s’éclater en poudreuse !
Cette discipline tient son nom du type de board utilisée qui se sépare en deux (ou plus) pour former comme des skis et permettre l’ascension des pentes. L’évolution du matériel a convaincu de nombreux snowboarders à la recherche de terrains vierges, loin des foules des stations de ski. Le splitboard à deux avantages : c’est moins lourd que de monter en raquette avec sa board dans le dos, et c’est mieux de redescendre en snowboard plutôt qu’en skis !!!
On parle de flat comme d’une pratique qui consiste à faire des tricks sur une piste plate presque sans élan, en se servant uniquement du flex de la planche.
La capacité d’une planche à se déformer. Plus ou moins souple selon le goût du rider et la pratique.
C’est la spatule avant du snowboard
L’inverse : la spatule arrière
C’est le fait de reculer les fixations sur la planche pour plus d’efficacité en poudreuse.
La personne qui s’occupe d’un snowpark et met des coups de pelle pour peaufiner les modules, qui ont d’abord été construits à la machine.
Un conseil : s’il y a des piquets devant un kick ou devant un module de Jib, surtout n’allez pas dessus au risque que la pelle dans les mains du shaper fasse un vol plané jusqu’à votre jugulaire.
(Aymeric était Shaper avant de nous rejoindre…)
Difficile de définir formellement le pop. C’est un peu comme la force dans Star Wars, un concept assez flou et qui paraît magique. Pour simplifier, c’est le fait de faire décoller sa board. Mais ce n’est pas si simple, il faut que ça soit un mouvement énergique qui provoque une explosion permettant au rider de s’envoler. Certains riders ont plus de pop que d’autres et ça se voit dans un pipe, sur un hip, sur un kicker ou en flat pour sauter par dessus un obstacle.
Rider du côté inverse. Un goofy avec le pied gauche devant par exemple.
Le haut d’une courbe ou la sortie du kicker (le sommet). Idem dans un pipe.
Inspiré du skate, c’est le trick freestyle de base qui fait décoller la planche du sol.
Une boîte de largeur et de longueur variées faite pour glisser dessus.
Ou un kick, ou une table. C’est un tremplin qui permet au rider de s’envoyer en l’air.
Une barre en fer sur laquelle on glisse. Elle peut avoir un autre nom selon sa forme.
Rentrer une figure. On dit aussi «plaquer 8 vis» une expression qui viens du skate.
Tordre sa board lors d’un grab pour la déformer et donner du style au trick.
Un saut dont la réception est sur le côté à 90° par rapport à la position initiale.
Définit les tricks où l’action se passe devant la carre orteil.
Un demi tube en neige inspiré d’une rampe de skate. C’est une discipline olympique.
Définit les tricks où l’action se passe devant la carre talon.
Rider sur des obstacles pas fait en neige.
Tourner sa board en l’air ou sur un obstacle. Trop, ou trop vite, c’est un hélicoptère.
Glisser sur un Jib (une barre de fer, une box…)
Une rotation à 90° lors d’un saut, qu’on plaque dans le même sens qu’au départ.
Un slide en appui sur la spatule avant.
Ou grind. C’est un slide droit, la planche doit être dans l’axe du module.
Un slide en appui sur la spatule arrière.
La même chose qu’un boardslide en passant le tail par dessus l’obstacle.
Désigne un tour de snowpark complet.
Un slide avec la planche à 90° sur l’obstacle, la carre back vers la fin du rail.
Du skate. On se pose en appui sur sa main.
Un slide où la planche n’est pas parallèle ou perpendiculaire à l’obstacle, loupé !
Attraper sa planche avec sa main. Selon la façon dont c’est fait, le grab a un nom différent. Les plus connus sont indy, mute, nose grab, tail grab, stalefish, sad, backside air, method, crail.
L’action de descendre quelque chose. On peut dropper en haut d’un half-pipe, d’une face rocheuse en freeride ou d’un module dans snowpark.
C’est slide avec la planche à 90 degrés sur l’obstacle, la carre front étant orientée vers l’avant, en direction de la fin du rai.
Si vous avez des questions sur le snowboard, le matériel, où si vous voulez juste qu’il vous prouve ce qu’il est capable de faire, vous pouvez bien évidement passer le voir au magasin (quand ce sera de nouveau autorisé) ou le contacter sur la page Facebook du Square Board Shop.
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Crédits photos : Jones snowboards; Yes. snowboards; Nidecker; Arbor snoboards; Thirty Two; Alexandre Wosko